L’humanitaire, les anonymes, les artistes peu renommés, les artistes très renommés, tous sont engagés dans un but commun qui est comme nous l’avons expliqué durant la totalité de ce TPE, d’apporter de l’aide à des populations dans le besoin. Nous avons essayé de comprendre si l’art était au service de l’Humanitaire ou si l’humanitaire était au service de l’art. Après toutes ces recherches, ces études il nous semble possible d’affirmer que l’art aujourd’hui semble être la vitrine de l’humanitaire. En effet, aider de son prochain au fil des années n’avait plus beaucoup de signification pour les hommes, l’art a fait revivre la flamme qui faiblissait et commençait à s’éteindre. C’est un rafraichissement, avec toutes ses nouveautés, la beauté de l’art qui englobe tous ses domaines a permis à de nombreuses personnes, toutes différentes les unes des autres de participer à leur manière à la cause humanitaire. Derrière cette belle façade que l’art a érigée devant l’humanitaire moderne, se trouvent de réels besoins et il y a un réel travail à faire. Toutes ces personnes solidaires vont plus loin et ne font pas qu’observer l’image que l’art renvoie de l’humanitaire, ces personnes brisent la vitrine qui attire le public, ces personnes s’engagent et soutiennent. C’est une nouvelle ère pour l’humanitaire qui est aujourd'hui entièrement mêlé à l’art, et qui, aujourd’hui, d’après nos recherches, en a besoin pour vivre.
L’image de l’humanitaire qui est ici créée par tous ces artistes est un fonctionnement habituel qui se retrouve dans beaucoup de milieux. Nous pouvons citer ici à titre d’exemple le milieu du business anglo-saxon qui est obligé pour garder ses marchés et ses clients de faire des donations s'élevant à plusieurs milliers de dollars auprès d’associations humanitaires, afin de préserver intacte leur image et de conserver leur clientèle, car celle-ci fluctuante va vers les plus offrants et généreux. Cette histoire d'image s'étend dans tous les domaines, et n'est qu'alimenté par les médias.
